Plus tôt, j’ai vu dans tes yeux une lueur que je n’avais pas aperçu jusqu’ici. Une chaleur alors que nos yeux se sont croisés mais cette fois sans s’enfuir aussitôt. Ils sont restés fixés les uns sur les autres quelques secondes, et j’ai vu… je crois que j’ai vu… peut-être que c’est mon imagination (ou juste du wishful thinking)… mais peu importe, ce que j’ai cru voir s’est inséré par mes yeux jusqu’à mon cerveau, et de là s’est répandu partout. Dans six jours je te serrai à nouveaux dans mes bras, et cette fois peut-être que j’oserai humer l’odeur de tes cheveux, de ton cou.
6 août 2015
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