13 août 2015

Été 2015

Deux chemins
qui un jour convergent
--- heureux hasard ---
ravivant chez lui
cette flamme
(tison sur lequel il soufflait
pour le garder allumé),
combustion en laquelle
il croyait sans avoir preuves
de ses vraisemblables probabilités;

les images s’animent,
les mots jaillissent
comme le plasma pourpre
(pression sanguine accrue),
le partage bidirectionnel
s’impose et devient impératif,
les fantasmagories renaissent,
Golgonooza réapparait sur la carte,
les mineurs retournent à leurs labeurs,
l’Été explose devant ses yeux
et prend de l’expansion
le transperçant de toute part
(radiation glorieuse)
portion individuelle de Big Bang.

Chez elle, […]

[Portion perdue du texte, qui se retrouvera peut-être là où les vagues se brisent.]

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