31 juillet 2015

Chaos cérébral du vendredi après-midi

Faire fi de tout ce qui cri, profiter du momentum et me laisser entraîner vers l’avant.  Foncer, foncer.  Je ne sais toujours pas, je ne comprends pas plus, mais qu’importe, je n’ai pas l’énergie de me battre.  Je regarde derrière et la dernière semaine me semble avoir été compactée, densité périlleuse, tellement d’émotions, de pensées, de mouvement.
 
Je me secoue la tête.  Désapprendre, réapprendre.  Inverser ma vision et regarder l’envers.
 
Je n’ai pas gaffé: j’ai été humain et j’ai agis selon ce que je suis et ce que je sais.  J’ai le droit à l’erreur et à la maladresse.  Mes intentions sont bonnes, et j’essaie toujours d’avoir de la considération pour les autres.  Je suis trop sévère envers moi-même.
 
Je ne suis pas un Fou : je suis un individu aux tendances autodidactes et indépendantes, alors comme je refuse en général que l’on m’inculque des connaissances, je dois tout apprendre par moi-même, sans exemples, sans modèles, sans marches à suivre.  C’est ce qui explique que je suis parfois si lent.
 
Je ne suis pas une cause perdue : je suis quelqu’un d’extrêmement particulier, et pour chacune de mes lacunes ou de mes handicaps, je possède des forces et des habiletés rares.  Un jour je trouverai celle qui aura une personnalité à qui la mienne conviendra.
 
* * *
 
« Ce qui est dans ta tête... est aussi dans ma tête. »
 
Quel bien ça m’a fait de lire ça, il y a une semaine.  Une félicité d’une pureté que je n’espérais plus.  Quel cadeau pour moi...
 
Grateful.  Filled with love for everyone (and I cannot regret love).  Weeping with heartbreaking joy.  Blinding light pumping in my veins.  I know nothing, but right now I feel like I am everything.

1 commentaire:

Aimon a dit...

Content que ça fasse sourire. :)