"And in the end they'll find her name
stitched to my heart"
[Ceci, après que sur l'heure du dîner, au travail, j'aie discuté avec mon ami F. des rêves, de ceux dont on se souvient, et qu'il ait fait la remarque que des "beaux rêves", il n'en a presque jamais, c'est toujours quelque chose de dérangeant, de désagréable ou de franchement effrayant.]
Je rêve à Julie, ma Julie. D'abord, ça se situe dans le contexte de mon travail actuel, étrangement. Les mêmes décors, les mêmes collègues, sauf que Julie travaille là aussi, et parfois quand je passe près de son bureau je la regarde rapidement. Et parfois quand je la croise, je lui parle. Mais elle n'a pas l'air d'avoir une grande estime de moi, et m'ignore presque. Il me semble que mon ami F. est au courant de mon amour pour elle, et essaie de m'aider, va déposer quelque chose à son bureau. Je ne sais plus.
Plus tard, je suis sur le terrain avant de mon ancienne maison, à McMasterville, et c'est le printemps. De gros blocs de neige glacée sont en train de fondre, et rendent le terrain boueux. J'aide quelqu'un à faire quelque chose, je sais plus quoi, je sais plus avec qui, mais à un moment donné je suis surpris par l'arrivée de Julie. Elle nous adresse la parole, c'est comme si elle habitait le même immeuble que moi.
Puis je me retrouve en voiture avec elle et d'autres amis, une belle journée ensoleillée, et je pense que nous roulons sur la route qui longe la rivière Richelieu. La voiture est décapotable, alors quand elle se retourne vers le siège arrière où je suis assis, elle est bénie par la lumière, et elle me sourit, et je réalise à cet instant qu'elle vient de tomber en amour avec moi. C'est le plus beau jour de ma vie.
Il y a une autre transition; cette fois je me retrouve seul avec elle dans une église. Je viens d'obtenir un poste d'organiste ici, et elle est mon assistante, officielle ou pas. Je me mets alors au travail, devant construire mon orgue. Je me vois alors le faire, et ça se passe exactement comme dans les jeux vidéo de Lego que je joue avec mes enfants (c'est-à-dire machinalement, rapidement).
Je ne me souviens plus du reste du rêve, mais j'étais avec elle.
Et au réveil, je ne l'étais pas.
Je rêve à Julie, ma Julie. D'abord, ça se situe dans le contexte de mon travail actuel, étrangement. Les mêmes décors, les mêmes collègues, sauf que Julie travaille là aussi, et parfois quand je passe près de son bureau je la regarde rapidement. Et parfois quand je la croise, je lui parle. Mais elle n'a pas l'air d'avoir une grande estime de moi, et m'ignore presque. Il me semble que mon ami F. est au courant de mon amour pour elle, et essaie de m'aider, va déposer quelque chose à son bureau. Je ne sais plus.
Plus tard, je suis sur le terrain avant de mon ancienne maison, à McMasterville, et c'est le printemps. De gros blocs de neige glacée sont en train de fondre, et rendent le terrain boueux. J'aide quelqu'un à faire quelque chose, je sais plus quoi, je sais plus avec qui, mais à un moment donné je suis surpris par l'arrivée de Julie. Elle nous adresse la parole, c'est comme si elle habitait le même immeuble que moi.
Puis je me retrouve en voiture avec elle et d'autres amis, une belle journée ensoleillée, et je pense que nous roulons sur la route qui longe la rivière Richelieu. La voiture est décapotable, alors quand elle se retourne vers le siège arrière où je suis assis, elle est bénie par la lumière, et elle me sourit, et je réalise à cet instant qu'elle vient de tomber en amour avec moi. C'est le plus beau jour de ma vie.
Il y a une autre transition; cette fois je me retrouve seul avec elle dans une église. Je viens d'obtenir un poste d'organiste ici, et elle est mon assistante, officielle ou pas. Je me mets alors au travail, devant construire mon orgue. Je me vois alors le faire, et ça se passe exactement comme dans les jeux vidéo de Lego que je joue avec mes enfants (c'est-à-dire machinalement, rapidement).
Je ne me souviens plus du reste du rêve, mais j'étais avec elle.
Et au réveil, je ne l'étais pas.
3 commentaires:
AH! les Julie ! Mais qu'est-ce qu'elles ont que les autres n'ont pas ? (Je fais allusion à la Julie de Maxime);-)
Les rêves, " hors contexte", comme les mots, sont probablement les plus beaux, les plus complexes, même si « effrayants, dérangeants et désagréables ». Mais je préfère DES agréables.
Tu vois Simon, y'a toujours un restant de positif dans le surplus de négatif, des photos, des images, comme ces glaçons de Noël oubliés dans le sapin vidangé... Je te souhaite un brin fou de réalité...pour ton prochain rêve ;-)
L.
merci pour intiresny Dieu
Bon, Dieu, d'accord, je suis prêt à établir un dialogue, mais SVP, ne sois pas si cryptique...
Ça veut dire quoi, "intiresny"?
Publier un commentaire