10 septembre 2008

Ce que je ne dis pas, je l'écris. Ce que j'écris, quand je juge que ça en vaut le coût, et qu'après de longues délibérations internes j'en trouve le courage, et bien il arrive que je finisse par le dire. En ce sens, mon écriture se veut parfois une base passive menant à l'action, au geste, à la parole.

En dépit de ce que j'en pense donc la plupart du temps, il m'en incombe donc de croire que je ne me remue pas les tripes, les méninges, les bébittes, pour rien.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Rien, un personnage qui sait, quand c'est le temps, se mettre à l'abri de Tout, donc de...lui-même. Elle mérite une bien bonne note cette belle note.(Not nut) ;-)
L.

Aimon a dit...

Merci, chère Lectrice.