H. Le prétexte, c'est bien sûr ta fête, mais j'aurais pu te dire ça n'importe quand. N'importe quand… mais finalement peut-être jamais, puisque je parle de moins en moins. J'veux pas être déprimant
(ça va avec moi de toute façon, le déprimant)
mais de la façon dont je me sens, ça me surprendrait pas que ça soit la dernière fête que je passe avec toi.
(Ta gueule Simon)
En tout cas, j'voulais te donner quelque chose que tu aimerais, mais qui serait propre à notre lien, à la nature de notre lien.
Tu m'avais dit une fois que tu aimais mieux te faire lire une histoire que de la lire. C'est mon cadeau. Ce livre, je te le donne, mais l'important du cadeau, je te l'ai pas encore donné. C'est le "racontage". J'espère que ça te fait plaisir, parce que, comme tu m'as dis dans ta carte de fête, t'es un chic type. Et d'autant plus parce que tu m'endure, m'écoute sans t'endormir (ça doit être dur) et que tu continues à rechercher ma présence. Merci… je m'excuse.
Simon