Il y a deux Esprits Révolutionnaires.
Il y a celui qui appartient à la Jeunesse, qui s'indigne de voir la Médiocrité de la Réalité Existante, et qui conçoit Mieux. Il voit tout ce qui pourrait être créé, tout ce qui n'existe pas mais qui le pourrait. Il conçoit l'Utopie.
Puis il y a celui qui appartient à la Vieillesse, qui s'indigne de voir tout ce qui – depuis sa naissance – a disparu, tout ce qui était bon et qui s'est dégradé, tout cette richesse qui disparaît au nom de l'Innovation.
L'un voit le Mieux qui pourrait être; l'autre le Mieux qui a déjà été. Les deux visions sont aussi puissantes.
Il y a celui qui appartient à la Jeunesse, qui s'indigne de voir la Médiocrité de la Réalité Existante, et qui conçoit Mieux. Il voit tout ce qui pourrait être créé, tout ce qui n'existe pas mais qui le pourrait. Il conçoit l'Utopie.
Puis il y a celui qui appartient à la Vieillesse, qui s'indigne de voir tout ce qui – depuis sa naissance – a disparu, tout ce qui était bon et qui s'est dégradé, tout cette richesse qui disparaît au nom de l'Innovation.
L'un voit le Mieux qui pourrait être; l'autre le Mieux qui a déjà été. Les deux visions sont aussi puissantes.